





Julien Dubois - Le JarDin
Jazz cosmique de l'espace en 11 dimensions
Depuis l'aube des civilisations, les jardins sont au cœur des préoccupations humaines. La création jardinière se détache de sa simple fonction nourricière pour accéder au rang d'art, symbolisant l'utopie d'un mariage idéal entre nature et culture. Persan, anglais, français, japonais... À chaque époque, à chaque pays sa spécificité, dévoilant la vision du monde des humains qui les façonnent. Lieu d'intrigue, de flânerie, de romance... Suspendu, secret, partagé, ouvrier... le jardin résonne en chacun tantôt comme un souvenir d'enfance ; archétype du retour aux sources et du voyage intérieur, tantôt comme l'engagement politique d'une lutte sociale.
Tel un jardinier des sons, Julien Dubois s'attache à tracer des lignes, figurer des courbes, tailler les rythmes, faire pousser les accords et en récolter les fruits. Il conçoit son champ musical comme un vaste jardin à géométrie variable. Le JarDin dévoile des natures cachées, il est l'espace des possibles cultivables.
Créé par Julien Dubois en 2016 après une résidence au conservatoire de Bordeaux, le JarDin, avec à son actif plus d'une trentaine de concerts et participations à de nombreux tremplins nationaux, entre en studio en 2018. Julien Dubois y développe une musique où écriture et improvisation s'entremêlent subtilement, où le son organique du saxophone côtoie les timbres minéraux des synthétiseurs. Explorant les rythmes complexes dans la lignée des Steve New-Yorkais (Coleman et Lehman), Julien Dubois mélange le rock, les musiques électroniques et une écriture influencée par les compositeurs européens du XXème siècle. Pour cette première production, Julien Dubois choisit d’inviter Sylvain Rifflet et Élise Caron, deux artistes influents de la scène du jazz contemporain français.
Julien Dubois - saxophone alto, compositions
Simon Chivallon - claviers
Ouriel Ellert - basse électrique
Gaétan Diaz - batterie
Invités :
Elise Caron - chant
Sylvain Rifflet - saxophone ténor
« Le Jardin est un disque certes virtuose mais habité d’une joie véritable dont il ne se départit jamais. Il a une âme. Si vous êtes attentifs, vous entendrez même çà et là de petites créatures électroniques qui y circulent librement, histoire de vous faire comprendre que tout peut arriver et qu’aucune forme ne saurait être finie.
Il ne vous reste plus qu’à vous laisser embarquer par la volubilité du saxophone alto de Julien Dubois et par les claviers de Simon Chivallon qui hissent des couleurs très chatoyantes. Son synthétiseur vous embarque parfois vers des contrées voisines de celles que beaucoup d’entre nous avaient pu visiter il y a bien longtemps, comme sur le final de “Allégeance au Dragon” avec ses élans façon Yes. Ces deux-là ont la capacité d'élaborer ensemble des textures sonores mouvantes d'une grande richesse, prenant appui sur la belle rythmique composée d'Ouriel Ellert (basse) et Gaétan Diaz (batterie). Le texte de Foucault évoque le jardin comme un lieu d’utopie : celui de Julien Dubois en est sans doute une, qui ne demande qu’à croître et laisser prospérer sa végétation plutôt luxuriante. Il est à coup sûr l’occasion de respirer un air des plus rafraîchissants. »
— Denis Desassis / Musiques Buissonnières
« Pour avoir déjà vu Le JarDin en concert, on espérait que la densité de cette musique pourrait un jour se retrouver sur disque. La réponse est oui avec ce premier album studio, qui nous emmène encore plus loin, par le message philosophique et poétique partagé par Julien Dubois [...] Cette musique mutante, pétrie de new jazz et de post rock prog, est réellement fascinante ! » — Dom Imonk / La Gazette Bleue
« Voici une heureuse surprise. Le quartet du saxophoniste Julien Dubois a entrepris un projet audacieux (au moins sur le plan conceptuel), celui d’explorer le concept, à moins qu’il ne s’agisse du mythe, du “jardin”, qui de l’Eden ou de l’Arcadie, peut devenir “ouvrier”, ou expérimentation de la permaculture… [...] Encore une fois, ce Jardin est une belle réussite musicale. Et l’on ne perçoit pas de déséquilibre entre l’intention “conceptuelle” et sa mise en harmonie, ou si l’on préfère, plus simplement, la musique elle-même. [...] Car dans ce Jardin on cultive certainement l’air pur de la liberté, les parfums surprenants et entremêlés des fleurs de toutes saisons et tous pays, mais aussi on chante. Et c’est Élise Caron qui y est conviée. On y danse assurément. Sylvain Rifflet (ts), à sa manière, nous y invite. » — Michel Arcens / Notes de Jazz
Jazz cosmique de l'espace en 11 dimensions
Depuis l'aube des civilisations, les jardins sont au cœur des préoccupations humaines. La création jardinière se détache de sa simple fonction nourricière pour accéder au rang d'art, symbolisant l'utopie d'un mariage idéal entre nature et culture. Persan, anglais, français, japonais... À chaque époque, à chaque pays sa spécificité, dévoilant la vision du monde des humains qui les façonnent. Lieu d'intrigue, de flânerie, de romance... Suspendu, secret, partagé, ouvrier... le jardin résonne en chacun tantôt comme un souvenir d'enfance ; archétype du retour aux sources et du voyage intérieur, tantôt comme l'engagement politique d'une lutte sociale.
Tel un jardinier des sons, Julien Dubois s'attache à tracer des lignes, figurer des courbes, tailler les rythmes, faire pousser les accords et en récolter les fruits. Il conçoit son champ musical comme un vaste jardin à géométrie variable. Le JarDin dévoile des natures cachées, il est l'espace des possibles cultivables.
Créé par Julien Dubois en 2016 après une résidence au conservatoire de Bordeaux, le JarDin, avec à son actif plus d'une trentaine de concerts et participations à de nombreux tremplins nationaux, entre en studio en 2018. Julien Dubois y développe une musique où écriture et improvisation s'entremêlent subtilement, où le son organique du saxophone côtoie les timbres minéraux des synthétiseurs. Explorant les rythmes complexes dans la lignée des Steve New-Yorkais (Coleman et Lehman), Julien Dubois mélange le rock, les musiques électroniques et une écriture influencée par les compositeurs européens du XXème siècle. Pour cette première production, Julien Dubois choisit d’inviter Sylvain Rifflet et Élise Caron, deux artistes influents de la scène du jazz contemporain français.
Julien Dubois - saxophone alto, compositions
Simon Chivallon - claviers
Ouriel Ellert - basse électrique
Gaétan Diaz - batterie
Invités :
Elise Caron - chant
Sylvain Rifflet - saxophone ténor
« Le Jardin est un disque certes virtuose mais habité d’une joie véritable dont il ne se départit jamais. Il a une âme. Si vous êtes attentifs, vous entendrez même çà et là de petites créatures électroniques qui y circulent librement, histoire de vous faire comprendre que tout peut arriver et qu’aucune forme ne saurait être finie.
Il ne vous reste plus qu’à vous laisser embarquer par la volubilité du saxophone alto de Julien Dubois et par les claviers de Simon Chivallon qui hissent des couleurs très chatoyantes. Son synthétiseur vous embarque parfois vers des contrées voisines de celles que beaucoup d’entre nous avaient pu visiter il y a bien longtemps, comme sur le final de “Allégeance au Dragon” avec ses élans façon Yes. Ces deux-là ont la capacité d'élaborer ensemble des textures sonores mouvantes d'une grande richesse, prenant appui sur la belle rythmique composée d'Ouriel Ellert (basse) et Gaétan Diaz (batterie). Le texte de Foucault évoque le jardin comme un lieu d’utopie : celui de Julien Dubois en est sans doute une, qui ne demande qu’à croître et laisser prospérer sa végétation plutôt luxuriante. Il est à coup sûr l’occasion de respirer un air des plus rafraîchissants. »
— Denis Desassis / Musiques Buissonnières
« Pour avoir déjà vu Le JarDin en concert, on espérait que la densité de cette musique pourrait un jour se retrouver sur disque. La réponse est oui avec ce premier album studio, qui nous emmène encore plus loin, par le message philosophique et poétique partagé par Julien Dubois [...] Cette musique mutante, pétrie de new jazz et de post rock prog, est réellement fascinante ! » — Dom Imonk / La Gazette Bleue
« Voici une heureuse surprise. Le quartet du saxophoniste Julien Dubois a entrepris un projet audacieux (au moins sur le plan conceptuel), celui d’explorer le concept, à moins qu’il ne s’agisse du mythe, du “jardin”, qui de l’Eden ou de l’Arcadie, peut devenir “ouvrier”, ou expérimentation de la permaculture… [...] Encore une fois, ce Jardin est une belle réussite musicale. Et l’on ne perçoit pas de déséquilibre entre l’intention “conceptuelle” et sa mise en harmonie, ou si l’on préfère, plus simplement, la musique elle-même. [...] Car dans ce Jardin on cultive certainement l’air pur de la liberté, les parfums surprenants et entremêlés des fleurs de toutes saisons et tous pays, mais aussi on chante. Et c’est Élise Caron qui y est conviée. On y danse assurément. Sylvain Rifflet (ts), à sa manière, nous y invite. » — Michel Arcens / Notes de Jazz
Jazz cosmique de l'espace en 11 dimensions
Depuis l'aube des civilisations, les jardins sont au cœur des préoccupations humaines. La création jardinière se détache de sa simple fonction nourricière pour accéder au rang d'art, symbolisant l'utopie d'un mariage idéal entre nature et culture. Persan, anglais, français, japonais... À chaque époque, à chaque pays sa spécificité, dévoilant la vision du monde des humains qui les façonnent. Lieu d'intrigue, de flânerie, de romance... Suspendu, secret, partagé, ouvrier... le jardin résonne en chacun tantôt comme un souvenir d'enfance ; archétype du retour aux sources et du voyage intérieur, tantôt comme l'engagement politique d'une lutte sociale.
Tel un jardinier des sons, Julien Dubois s'attache à tracer des lignes, figurer des courbes, tailler les rythmes, faire pousser les accords et en récolter les fruits. Il conçoit son champ musical comme un vaste jardin à géométrie variable. Le JarDin dévoile des natures cachées, il est l'espace des possibles cultivables.
Créé par Julien Dubois en 2016 après une résidence au conservatoire de Bordeaux, le JarDin, avec à son actif plus d'une trentaine de concerts et participations à de nombreux tremplins nationaux, entre en studio en 2018. Julien Dubois y développe une musique où écriture et improvisation s'entremêlent subtilement, où le son organique du saxophone côtoie les timbres minéraux des synthétiseurs. Explorant les rythmes complexes dans la lignée des Steve New-Yorkais (Coleman et Lehman), Julien Dubois mélange le rock, les musiques électroniques et une écriture influencée par les compositeurs européens du XXème siècle. Pour cette première production, Julien Dubois choisit d’inviter Sylvain Rifflet et Élise Caron, deux artistes influents de la scène du jazz contemporain français.
Julien Dubois - saxophone alto, compositions
Simon Chivallon - claviers
Ouriel Ellert - basse électrique
Gaétan Diaz - batterie
Invités :
Elise Caron - chant
Sylvain Rifflet - saxophone ténor
« Le Jardin est un disque certes virtuose mais habité d’une joie véritable dont il ne se départit jamais. Il a une âme. Si vous êtes attentifs, vous entendrez même çà et là de petites créatures électroniques qui y circulent librement, histoire de vous faire comprendre que tout peut arriver et qu’aucune forme ne saurait être finie.
Il ne vous reste plus qu’à vous laisser embarquer par la volubilité du saxophone alto de Julien Dubois et par les claviers de Simon Chivallon qui hissent des couleurs très chatoyantes. Son synthétiseur vous embarque parfois vers des contrées voisines de celles que beaucoup d’entre nous avaient pu visiter il y a bien longtemps, comme sur le final de “Allégeance au Dragon” avec ses élans façon Yes. Ces deux-là ont la capacité d'élaborer ensemble des textures sonores mouvantes d'une grande richesse, prenant appui sur la belle rythmique composée d'Ouriel Ellert (basse) et Gaétan Diaz (batterie). Le texte de Foucault évoque le jardin comme un lieu d’utopie : celui de Julien Dubois en est sans doute une, qui ne demande qu’à croître et laisser prospérer sa végétation plutôt luxuriante. Il est à coup sûr l’occasion de respirer un air des plus rafraîchissants. »
— Denis Desassis / Musiques Buissonnières
« Pour avoir déjà vu Le JarDin en concert, on espérait que la densité de cette musique pourrait un jour se retrouver sur disque. La réponse est oui avec ce premier album studio, qui nous emmène encore plus loin, par le message philosophique et poétique partagé par Julien Dubois [...] Cette musique mutante, pétrie de new jazz et de post rock prog, est réellement fascinante ! » — Dom Imonk / La Gazette Bleue
« Voici une heureuse surprise. Le quartet du saxophoniste Julien Dubois a entrepris un projet audacieux (au moins sur le plan conceptuel), celui d’explorer le concept, à moins qu’il ne s’agisse du mythe, du “jardin”, qui de l’Eden ou de l’Arcadie, peut devenir “ouvrier”, ou expérimentation de la permaculture… [...] Encore une fois, ce Jardin est une belle réussite musicale. Et l’on ne perçoit pas de déséquilibre entre l’intention “conceptuelle” et sa mise en harmonie, ou si l’on préfère, plus simplement, la musique elle-même. [...] Car dans ce Jardin on cultive certainement l’air pur de la liberté, les parfums surprenants et entremêlés des fleurs de toutes saisons et tous pays, mais aussi on chante. Et c’est Élise Caron qui y est conviée. On y danse assurément. Sylvain Rifflet (ts), à sa manière, nous y invite. » — Michel Arcens / Notes de Jazz