THEOREM OF JOY
D’un rivage à l’autre
Theorem of Joy, c'est une immersion dans un univers onirique et impressionniste, une ballade ou l'on accoste sur plusieurs rives ou chaque histoire et le rouage d'un univers au paysage intime et surprenant... Un jazz éclatant ou se côtoient sonorités Nord-Africaines, trips post-rock, saveurs suaves de la pop... Il vous emmène courir dans l’imaginaire de Miyazaki, vous cabrer sur un rivage de Palestine, glisser sur un fil tendu entre deux destins, méditer au son d’un raga indien, exorciser vos démons intérieurs. Cordes sensibles, mélodies singulières et improvisations débridées, emmené par le contrebassiste Thomas Julienne, Theorem of Joy défriche des sentiers nouveaux.
A partir d'un socle jazz, Theorem of Joy est influencé par la musique impressionniste du XXe siècle (Debussy, Ravel, Boulanger), la musique méditerranéenne ainsi que toute la culture folk, rock et post-rock. Toutes ces couleurs se mélangent dans le répertoire et génèrent des modalités d’écriture et d’improvisation riches et surprenantes. Après 3 ans d’existence, plus de 45 concerts, le soutien du Rocher de Palmer et du Baiser Salé, le groupe a sorti son premier album chez InOuïe Distribution en avril 2018, suivi d’un second chez DÉLUGE : L’Hiver.
Thomas Julienne
contrebasse, composition
Ellinoa - chant
Robin Antunes - violon
Anthony Winzenrith - guitare
Tom Peyron - Batterie
“Un album riche d’une dimension orchestrale ambitieuse, dont les arrangements chatoyants, empreint d’une féerie claire-obscure, donnent à ce beau casting l’occasion d’exprimer toutes ces qualités.”
“Diablement malin et jouant avec les codes aussi. Une musique qui ne cherche pas à plaire à tout prix mais qui séduit quand même parce que justement, elle est brillante mais pas clinquante. L’hiver est chaleureux comme une fin de printemps. Voilà encore qui va affoler les horloges. Et les boussoles. Ce qui n’est pas sans nous réjouir.”
“Theorem Of Joy est certainement un des plus beaux projets français (...) C’est comme traverser une galerie d’art ou les yeux s’émerveillent et se perdent sur des tableaux sublimes.”